C'est le plus dur des temps de souffrance
La plâgue s'est enfouie dans la chambre, la peau, le sang
La fatigue et le vide nous ont mis à l'ombre, dans la realité du monde
Eppuisés de mots et de distance, la mort est venue nous rendre cet espèce
de peur et de nonchalence, et ensuite, des pas de rupture et d'absence
Mais autour de nous il y a un espace, où ailleurs grandissaient les fleurs aux fins fils d'aimants, um filtre d'amour des meilleures plantes
Elles sont là, les fleurs, qu'elles soient du mal ou du bien
Pour les cuieillir il ne faut que se sentir encore beau et vivant, refuser les horribles pensées de mort et malaisance
Ne meurs pas devant la mer, auprès du vent, ou à la mare. Encore une fois, cherche la lueur de tes anciens apas
Moi je n' existe que pour veiller à ton retour aux jours de joi, au plaisir des mistères de l'existance
Un éventail de plaisir s'oeuvre au delà de l'orage. Regarde plutôt le lointain, pas l'imédiat.
Commence ce jour même ton avenir, plante les signes de tes sens, ceux que tu vas voir fleurir après ces malheureux temps
Je suis là, en expiation de mes péchés.
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